afnor

En 2003, la première norme volontaire sur le développement durable voyait le jour en France. Une époque où le terme de parties prenantes suscitait l’interrogation de tous. Aujourd’hui, il est largement utilisé pour qui parle de son écosystème. En écho à l’essor de cette thématique, le groupe AFNOR a multiplié les initiatives.

illustrationRSE

Pour aller dans la même direction, il faut d’abord se comprendre. C’est un adage que partagent tous les salariés du groupe AFNOR, à commencer par celles et ceux qui animent des commissions de normalisation. Elles réunissent des parties intéressées (encore un terme accepté récemment) par une question, un enjeu, une manière de faire.

19 000 professionnels s’impliquent ainsi chaque année pour participer à la définition de règles du jeu.

C’est le cas par exemple sur la question de la RSE pour la filière agroalimentaire, puisqu’un projet de norme internationale, piloté par la France, est bien
engagé.

Les normes volontaires sur la RSE ont fleuri, depuis le SD 21000 en 2003. L’ISO 26000 est bien entendu le texte phare, puisqu’il est très prisé par celles et ceux qui sollicitent des formations auprès d’AFNOR Compétences. Des centaines d’entreprises se font d’ailleurs évaluer sur la base de cette norme, puisqu’AFNOR Certification a développé plusieurs solutions de reconnaissance, selon les besoins de celles et ceux qui souhaitent revendiquer une contribution objective au développement durable, avec l’outil d’évaluation qui fait aujourd’hui référence sur le marché : LABEL ENGAGE RSE (Anciennement appelé AFAQ 26000).

Normalisateurs, évalués, formés… Toutes celles et ceux qui font appel au groupe AFNOR forment une communauté importante d’entreprises engagées, qui ont beaucoup à partager.